X-3 - Dès la naissance.
En France, 10% des
couples essaient une FIV, plus de 5% des 800000 bébés sont conçus grâce à la
technologie.
70 % des accouchements
se font sous diverses drogues.
50% de spermatozoïdes en
moins chez les jeunes mâles.
Les autistes
représentent une naissance sur 66 et ça augmente.
Lors des FIV, les
spermatozoïdes les plus vigoureux sont sélectionnés pour devenir des enfants.
Normal, les scientifiques n'allaient pas choisir les plus mous, ceux avec la
plus petite queue/flagelle. Après 30 ans avec ce type de sélection, ils
viennent de se rendre compte que leurs critères ne valent rien. Et on s'étonne
d'observer que les enfants nés avec ces méthodes développent plus de maladies,
d'allergies, de souffrances.[1]
La sélection partiale et
pressée des scientifiques est opposée à la lente et implacable évolution darwinienne.
La sélection naturelle a permis aux grands-mères d'exister car selon une
hypothèse, c'est parce qu'elles permettent aux enfants de leur fille d'avoir
plus de chance de vivre, en s’en occupant donc mieux, que la nature a permis
cette anomalie (une « femelle inutile » car non fertile) dans le
règne animal.
Depuis des milliers
d'années l’humain se reproduit. Et ça marche.
Notre époque en délire
de toute puissance change les règles du « JE », s'autorise à trafiquer
les êtres humains.
L'obsession
techno-scientiste a fait de la grossesse une maladie.
Cette dérive médicale doit disparaître, celles qui
s'y connaissent, les sages-femmes rétabliront la vérité. Les mâles
gynécologues-obstétriciens, dont nom savant a été inventé pour impressionner
doivent disparaître. L’académie des sciences, cette aristocratie médica/menteuse
doit rendre le pouvoir au citoyen, son rôle doit être uniquement consultatif,
aucune décision ne doit leur appartenir, la santé est trop précieuse pour être
laissée entre les mains de spécialistes liés aux industriels/labos.
Prenons nos
responsabilités, soyons notre premier médecin.
Se réapproprier sa
santé, être responsable de son bien-être, c'est faire voler en éclat les
exclusivités. C'est leur voler l'éclat doré d'un statut adoré, fonctionnaire
libéral : le médecin est libre de fixer son salaire payé par la
collectivité.
Nos élites se vantent de
vouloir sauver la sécu, elle est devenue leur corne d'abondance. Notre clique de dominants vante notre merveilleuse protection
sociale à la française. On la comprend. Pour qu'ils continuent à bénéficier de
ses largesses, ils baissent les remboursements des malades tout en augmentant
les cotisations. Les multinationales de la maladie comme Sanofi – L’Oréal, via
des participations croisées – peuvent payer grassement leurs chefs. Les citoyens
doivent boycotter ces entreprises sinon ils collaborent. La sécu du CNR, avec un contrôle citoyen de chaque
caisse départementale, est à réhabiliter.
Sage-femme-sage. Un
savoir ancestral, des rumeurs, une torsion de l'Histoire et l’inconscient collectif
croit que la médecine est uniquement responsable d’une baisse de la mortalité
infantile. L'implacable argument de la nomenklatura républicaine productiviste
est une foutaise. Pour que l’on adule le progrès, la science et la médecine
moderne jouent sur deux manipulations : ils se réfèrent au XIXe siècle, le
pire des siècles et se taisent sur l'actuel taux d'avortements thérapeutiques
qui augmente de manière significative.
Aujourd'hui, les
Hollandaises accouchant à la maison comme les femmes des tribus amérindiennes
ont-elles plus de mort-nés que nous ? Moins pour les indigènes,
elles sont moins polluées.
Prise de sang, photo
échographie, vitamines, fer, péridurale, piqûre pour accélérer, épisiotomie. La
femme manque de fer ? Et si c'était voulu, le fer est une nourriture pour
des bactéries pathogènes. Le blanc
d’œuf, protégeant le jaune, n'a pas de fer, pas folle, la poule.
Les hôpitaux high-techs
parisiens battent des records mondiaux d'utilisation de péridurale-épisiotomie
avec un accouchement à l'heure décidée par le spécialiste, bien né ; il
déteste être en retard à son golf ?
High-tech. PMA.
Étrangement certaines en
redemandent, leurs mères se sont battues pour faire l'amour sans tomber enceinte,
leurs filles se battent pour être enceinte sans faire l'amour.
Et hop, les deux fers en
l'air, c'est plus pratique pour le pro. Mais aller en l'encontre de la gravité,
est-ce plus pratique pour les femmes ?
On a dégagé la chaise
d'accouchement millénaire.
Et hop, à peine né,
c'est drogue, tuyau dans le nez, collyre dans les yeux, mesures de tout et
cocktails de vaccins à gogo. Anticorps déchaînés, on bat des records de
maladies auto-immunes où les anticorps attaquent leur hôte. Mesures sans mesure,
pas d’évaluations indépendantes.
Ils nous polluent alimentation,
air et terre, ils nous pourrissent la vie quotidiennement mais leurs industries
médicales nous vaccinent sans modération. Sur ma peau, le papillomavirus est
présent pour me protéger. Et si un vaccin permettant d'éviter le cancer du col
de l'utérus est efficace, qu'adviendra-t-il des virus identiques sur ma peau ?
Pour info marrante, ce
papillomavirus proviendrait des galipettes entre Sapiens et Denisova.
Et l’inefficacité du
vaccin contre la grippe, 20% de protégés, ne serait-ce pas à cause d’une
méthode de fabrication dépassée ? Et un vaccin contre la rougeole, c’est
indispensable dans un pays « moderne », alors que 90% des personnes
étaient naturellement immunisées[2].
Questionner, douter, n'est-ce pas un fondamental scientifique ?
Sans douter de rien, les
spécialistes inventent le biberon à tétine ergonomique en silicone, elle
remplacera celle en poison bisphénol. Le marketing invente la bouteille de lait
au goulot adaptable à la tétine, et c’est mieux qu’un sein !! Les mêmes
vendus aux multinationales du lait, interdisaient l'allaitement maternel et
tuaient par empoisonnement, à cause de l'eau des biberons, des milliers
d'enfants Africains.
Les mêmes vénaux
interdisaient la tétée. Le personnel manipulé de maternités complices « offrait »
des cadeaux de naissance : boîtes de Nestlé, Guigoz et Cie. Les mêmes pousseront
au fluor rendant idiot, à la mutilation des dents alors qu'un corps sait se
soigner d'une petite carie.
Évolution ? La
femme néandertal allaitait jusqu'à 7 mois, elle introduisait l'alimentation
solide progressivement jusqu'à 14 mois. Nous, on isole l'enfant plutôt que de
le laisser coller à sa mère dont l'odeur le rassure. Les femmes grecques
maîtrisaient leur fécondité avec des plantes comme le Silphium. Les maladies
nosocomiales, issues d’hôpitaux usines, font des ravages. Dans la « La Némésis médicale » Y. Illich rappelait un fondamental de bonne santé : une vie en
sécurité et une nourriture équilibrée et saine. Nos spécialistes oublient
les bases, notre système immunitaire est renforcé par l'allaitement maternel.
Ils oublient qu’à quatre
pattes, le petit d'homme met tout à la bouche et ainsi, s'immunise
NATURELLEMENT.
Ils n'ont rien contre le
« Youpala », mauvais pour notre fondamental gravitaire. Parmi ces savants,
certains sont allés trop longtemps à l'école et plus sapiens qu'eux tu meurs.
Les cadres à la pensée
carrée, les surdiplômés se croient indispensables. Mais les véritables
indispensables sont les êtres au contact du réel, les professionnels de la
relation d'aide sont majoritairement des humains empathiques, ils ont mis
leur art du soin au service de la majorité. Hélas comme dans de nombreux
domaines, les avides tirent les ficelles, alliés des pouvoirs, ils créent des
lois pour s’approprier les corps et imposent leurs méthodes de santé.
DES IDÉES.
Une femme enceinte est
un être extraordinaire. Elle a deux vies, elle a droit à deux fois plus
d’égard. Les ridicules microscopiques congés de pater-maternité doivent
commencer quand ELLES le décident, elle et pour la vie en elle. Des activités
douces, artistiques, sensibles doivent être proposées.
Toute la société et Sa
sage-femme doivent être en gestion de sa gestation,
La vache porte le veau 9
mois. Les primes d'allaitement doivent aller aux femmes plutôt qu'aux vaches.
L'argent dû est aussi une reconnaissance. Notre société peut, doit, rémunérer
un comportement responsable plutôt que de taxer l'eau du bain, l’habitat
familial, les chaussons de bébé ; et bientôt la gravité lui permettant ses
premiers pas ?
Mon enfant est trop
précieux, le « conseil de l’ordre » ne décidera pas pour moi, pas
pour lui.
Le numerus clausus doit
imposer une variété sociétale, car jamais un fils de beau quartier – l’origine
de 95% des étudiants – n’ira soigner dans une banlieue ou une campagne
profonde.
Ces « ahuris »
de témoins de Jéhovah refusent les transfusions. Du coup, ils refusent le sang
contaminé par le sida, l'hépatite C ou la maladie de Lyme. Eux prennent leurs
responsabilités. Mon corps m’appartient. Faudra-t-il ne pas déclarer nos gosses
à l’état pour décider de leur santé ? Décision personnelle délicate, « Choisir,
c’est s’incarner ». Mais perdre le confort du « non-choix »
est difficile car « choisir » n’est pas naturel pour notre
cerveau/pensée quantique.
[1]
Pr Brigitte Chabrol, chef du service de Neurologie pédiatrique au CHU de
Marseille et présidente de la Société française de pédiatrie « Les études
montrent que, chez les bébés-éprouvettes, les risques de naissance prématurée
sont multipliés par 5 et ceux de retard de croissance par 3 comparativement aux
autres bébés. »
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